Mais quelle mouche a bien pu me piquer pour débuter la généalogie ?
Mon père avait commencé à effectuer ses premières recherches généalogiques il y a 30 ans environs. A ce moment, point d’internet, point d’ordinateur, mais des fiches papiers, le téléphone et les correspondances par courrier. Les recherches sur ma branche paternelle furent tout de même déjà bien avancées après la disparition de mon père. Un de mes oncles poursuivit le travail. Pour ma part, mon intérêt pour la généalogie est plutôt récent… et je ne me doutais pas à quel point cela allait me passionner.
Au début de mes recherches, je listais des noms, remontant les générations et les siècles. Il faut dire qu’internet et les bases de données existantes sont une ressource énorme. Néanmoins, il y apparaît souvent de mauvaises interprétations, voire des erreurs. Le “copier-coller” a ses limites… Depuis, j’essaie de revenir aux fondamentaux : recherche à la source, croisement des informations… Étant éloigné de ma région d’origine, je ne peux aller aux archives départementales que très rarement. Je me console néanmoins avec les archives en ligne…
Les recherches nous incitent à aller toujours plus loin : savoir qui étaient nos ancêtres, connaître leurs métiers, leur mode de vie, leurs usages… Eh oui, j’ai appris que la généalogie ne se limite pas à dresser des listes d’ancêtres et à dessiner des arbres ! La généalogie nous amène ainsi, tels des détectives, à retracer ne serait-ce qu’une bribe de l’histoire de nos ancêtres. Pour ainsi dire, on ne finit jamais sa généalogie, on l’améliore sans cesse.
Pour tous les cousins généalogiques, n’hésitez pas à me contacter, j’en serai le premier ravi !
Pour aller plus loin, retrouvez mon portrait de généablogueur, réalisé par Sophie Boudarel en janvier 2014.